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Do younger construction workers understand the risks of asbestos?

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Les jeunes travailleurs de la construction comprennent-ils les risques de l'amiante ?

Sel m arda eryilmaz amiante 0Image- RPP (FIEC)

Cela fait maintenant environ deux décennies que plusieurs grandes économies ont interdit l'utilisation de l'amiante, alors que le monde prend progressivement conscience des graves effets qu'il peut avoir sur la santé des travailleurs.

Un travailleur portant des vêtements de protection complets et un équipement de protection respiratoire se tient debout sur un escabeau pour examiner les tôles de toit contenant de l'amiante. Un contact accru avec l'amiante est un résultat inévitable de l'accent mis par la CE sur la rénovation des bâtiments.
Les travailleurs de la construction courent un risque particulier de mourir d'un mésothéliome – une forme de cancer par ailleurs rare – après une exposition à l'amiante.

En fait, une étude réalisée en 2022 par des chercheurs italiens a révélé que sur 17 191 personnes dans le pays atteintes de cas de mésothéliome malin de 1993 à 2018, une moyenne de 20,8 % avaient travaillé dans la construction.

Fait inquiétant, la tendance du mésothéliome malin chez les travailleurs de la construction est passée de 15,8 % au cours de la période 1993-1998 à 23,9 % en 2014-18.

L'étude a également averti que l'utilisation massive d'amiante dans la construction avant l'interdiction fait de la probabilité d'exposition "une réelle préoccupation encore aujourd'hui", en particulier pour ceux des secteurs de l'assainissement et de la maintenance.

Mais malgré les risques persistants, on craint que les jeunes travailleurs de la construction ne considèrent pas l'exposition à l'amiante comme quelque chose dont leur génération doit s'inquiéter.

Ce problème est aggravé par le fait qu'il peut s'écouler de nombreuses années – parfois des décennies – après l'exposition avant que des symptômes de mésothéliome ou d'autres maladies liées à l'amiante n'apparaissent.

"Il est bien connu que les jeunes travailleurs sont inexpérimentés en ce qui concerne l'identification des dangers et des risques (pas seulement l'amiante) sur le chantier", déclare Sean Maguire, spécialiste britannique de la santé et de la sécurité de RPP Architects, qui conseille les clients et les professionnels de la construction.

«Ils doivent être informés et recevoir la formation appropriée sur les endroits où l'amiante peut être trouvé.

"Et ils ne devraient pas commencer de travaux sur un bâtiment d'un certain âge sans demander si une enquête amiante de rénovation et de démolition a été entreprise ou rassuré que l'amiante a été retiré avant le début des travaux."

Pendant ce temps, la Fédération européenne de l'industrie de la construction (FIEC) a averti que l'exposition des travailleurs est susceptible d'augmenter car elle s'attend à ce que les travaux de rénovation en Europe augmentent au cours des prochaines années à mesure que les bâtiments contenant de l'amiante vieillissent.

Campagnes des régulateurs britanniques pour sensibiliser les jeunes travailleurs

C'est à cette fin que le régulateur britannique de la santé et de la sécurité au travail, le Health and Safety Executive (HSE), a lancé ce mois-ci une nouvelle campagne, intitulée "Asbestos & You".

Il s'adresse aux milléniaux, les travailleurs de la génération Z qui travaillent dans les métiers de la construction et qui ont commencé leur carrière après 1999.

Cela survient alors que 5 000 personnes dans le pays meurent encore de maladies liées à l'amiante dans le pays. L'amiante a été largement utilisé dans la construction et l'entretien des bâtiments des années 1950 jusqu'à son interdiction en 1999.

La directrice générale du HSE, Sarah Albon, a déclaré: «L'exposition à l'amiante en Grande-Bretagne reste la principale cause de décès liés au travail.

"Toute personne travaillant dans la construction aujourd'hui, quel que soit son âge, doit prendre au sérieux le risque lié à l'amiante."

Maguire commente: "Toute campagne de sensibilisation à l'amiante est la bienvenue."

Et il prévient: "L'amiante n'est pas gérée et contrôlée par tous les propriétaires comme l'exige la réglementation et de nombreux entrepreneurs sous-traitants, les opérateurs sur les sites effectuent des travaux sans demander ou se faire dire qu'il peut y avoir de l'amiante dans le bâtiment et qu'ils puissent le déranger pendant les travaux.

Interdiction de l'amiante

Grâce à ses propriétés de bon isolant, en plus d'offrir une bonne protection contre l'incendie et une bonne protection contre la corrosion, l'amiante a trouvé sa place dans une vaste gamme de produits de construction, en particulier dans les années 1950, 1960 et 1970.

Dans les propriétés industrielles et résidentielles, celles-ci comprenaient : des revêtements projetés sur les murs, les plafonds, les poutres et les colonnes ; réservoirs d'eau en amiante-ciment; isolation en vrac; carreaux de plafond; carreaux de sol en vinyle; en retard sur les tuyaux; et dans les toitures en ciment et les revêtements en ciment.

De nombreux pays ont par la suite interdit l'amiante dans les produits de construction en raison de ses effets nocifs sur la santé.

Mais dans certains cas, cela fait maintenant des décennies que ces interdictions ont été appliquées, ce qui signifie que les jeunes générations de travailleurs de la construction peuvent ne pas être conscientes des risques de la même manière que leurs homologues plus âgés.

Voici quelques-uns des principaux pays qui ont interdit l'amiante et les dates de leurs interdictions :

Royaume-Uni : Interdiction totale de l'amiante en novembre 1999. Le Royaume-Uni avait déjà interdit l'importation et l'utilisation de l'amiante bleu (Crocidolite) et brun (Amosite) en 1985. Cette interdiction a été étendue en 1999 à l'amiante blanc (Chrysotile).
Australie : Amiante complètement interdit en décembre 2003.
Union européenne : amiante interdit en 2005, bien que certains États membres l'aient interdit bien avant cette date. L'Italie, par exemple, a interdit l'amiante en 1992.
Japon : Interdiction de l'amiante en 2006.
Canada : amiante interdit, dont la production jouait autrefois un rôle majeur dans l'économie, en 2018.
Afrique du Sud : L'Afrique du Sud était un leader mondial dans la production d'amiante et, par conséquent, son incidence de mésothéliome est parmi les plus élevées au monde. Il a interdit l'amiante en 2008.
États-Unis : L'amiante n'est pas complètement interdit au niveau fédéral. Mais il y a eu une interdiction partielle de l'amiante depuis 1989, interdisant la fabrication, l'importation, la transformation et la distribution de certains produits contenant de l'amiante. Certains États ont adopté des réglementations plus strictes. Le New Jersey a été le premier État à interdire l'amiante en 2018.
NJC.© Info RPP (FIEC)

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Do younger construction workers understand the risks of asbestos ?

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It’s now around two decades since several major economies banned the use of asbestos, as the world gradually woke up to the severe effects it can have on workers’ health.

A worker in full protective clothing and respiratory protection equipment stands on a stepladder to look at asbestos-containing roof sheets. Greater contact with asbestos is an inevitable result of the EC’s focus on building renovation.
Construction workers are at particular risk of dying from mesothelioma – an otherwise rare form of cancer – after asbestos exposure.

In fact, a 2022 study by Italian researchers found that of 17,191 people in the country with malignant mesothelioma cases from 1993 until 2018, an average of 20.8% had worked in construction.

Worryingly, the trend for malignant mesothelioma among construction workers increased from 15.8% in the 1993-98 period, to 23.9% in 2014-18.

The also study warned that the large use of asbestos in construction before the ban makes the probability for exposure “a real concern still today”, particularly for those in the remediation and maintenance sectors.

But despite the continuing risks, there are concerns that younger construction workers don’t consider asbestos exposure to the something that their generation needs to worry about.

That problem is compounded by the fact that it can take many years – sometimes decades – after exposure before symptoms of mesothelioma or other asbestos-related diseases emerge.

“It is well known that younger workers are inexperienced with regard to identification of hazards and risk (not just asbestos) on site,” says UK-based health and safety expert Sean Maguire of RPP Architects, who provides advice to clients and construction professionals.

“They need to be informed and get the appropriate training on where asbestos may be found.

“And they should not start any work on a building of a certain age without asking if a refurbishment and demolition asbestos survey has been undertaken or reassured that the asbestos has been removed prior to the work commencing.”

Meanwhile, the European Construction Industry Federation (FIEC) has warned that workers’ exposure is likely to increase because it expects renovation work in Europe to increase over the coming years as buildings containing asbestos age.

UK regulator campaigns to raise awareness among younger workers

It’s to that end that Great Britain’s workplace health and safety regulator, the Health and Safety Executive (HSE) this month launched a new campaign, called ‘Asbestos & You’.

It is aimed at millennials, generation Z workers who work in construction trades and who started their careers after 1999.

It comes as 5,000 people in the country still die from asbestos-related illnesses in the country. Asbestos was used extensively in the construction and maintenance of buildings from the 1950s until a ban in 1999.

HSE’s chief executive Sarah Albon said, “Asbestos exposure in Great Britain is still the single greatest cause of work-related deaths

“Everyone working in construction today, of any age, must take the risk from asbestos seriously.”

Maguire comments, “Any campaign that raises awareness that raises awareness of asbestos is welcome.”

And he warns, “Asbestos is not being managed and controlled by all property owners as required under the regulations and many contractors sub-contractors, operatives on sites are carrying out works without asking for or being told that there may be asbestos in the building and that they may disturb this during the works.”

Asbestos bans

Thanks to its properties as a good insulator, as well as offering good fire protection, and good corrosion protection, asbestos found its way into a huge range of building products, particularly in the 1950s, 1960s and 1970s.

In both industrial and residential properties, these included: sprayed coatings on walls, ceilings, beams and columns; asbestos cement water tanks; loose-fill insulation; ceiling tiles; vinyl floor tiles; lagging on pipes; and in cement roofs and cement cladding.

Many countries subsequently banned asbestos in construction products due to its harmful health effects.

But in some cases it has now been decades since those bans were enforced, meaning that younger generations of construction workers may not be aware of the risks in the same way as their older counterparts.

Here are some of the major countries that have banned asbestos and the dates of their bans:

United Kingdom: Fully banned asbestos in November 1999. The UK had already banned the import and use of blue (Crocidolite) and brown (Amosite) asbestos in 1985. That ban was extended in 1999 to white asbestos (Chrysotile).
Australia: Completely banned asbestos in December 2003.
European Union: Banned asbestos in 2005, although some member states banned it well before then. Italy, for example, banned asbestos in 1992.
Japan: Banned asbestos in 2006.
Canada: Banned asbestos, whose production once played a major role in the economy, in 2018.
South Africa: South Africa was a global leader in asbestos production and as a result its incidence of mesothelioma is among the highest in the world. It banned asbestos in 2008.
United States: Asbestos is not completely banned at the federal level. But there has been a partial ban on asbestos since 1989, prohibiting the manufacture, import, processing and distribution of some asbestos-containing products. Some individual states have enacted stricter regulations. New Jersey was the first state to ban asbestos in 2018.
NJC.© Info RPP (FIEC)

  

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Begrijpen jongere bouwvakkers de risico's van asbest ?

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Het is nu ongeveer twee decennia geleden dat verschillende grote economieën het gebruik van asbest hebben verboden, terwijl de wereld zich geleidelijk bewust werd van de ernstige gevolgen die het kan hebben voor de gezondheid van werknemers.

Een arbeider in volledig beschermende kleding en ademhalingsapparatuur staat op een trapladder om asbesthoudende dakplaten te bekijken. Een groter contact met asbest is een onvermijdelijk gevolg van de focus van de EC op de renovatie van gebouwen.
Bouwvakkers lopen een bijzonder risico om te sterven aan mesothelioom – een verder zeldzame vorm van kanker – na blootstelling aan asbest.

Uit een studie van Italiaanse onderzoekers uit 2022 bleek zelfs dat van de 17.191 mensen in het land met gevallen van maligne mesothelioom van 1993 tot 2018 gemiddeld 20,8% in de bouw had gewerkt.

Het is zorgwekkend dat de trend voor kwaadaardig mesothelioom onder bouwvakkers is gestegen van 15,8% in de periode 1993-98 tot 23,9% in 2014-18.

De studie waarschuwde ook dat het grote gebruik van asbest in de bouw vóór het verbod de kans op blootstelling "tot op de dag van vandaag een echte zorg" maakt, vooral voor mensen in de sanerings- en onderhoudssector.

Maar ondanks de aanhoudende risico's zijn er zorgen dat jongere bouwvakkers blootstelling aan asbest niet beschouwen als iets waar hun generatie zich zorgen over moet maken.

Dat probleem wordt nog verergerd door het feit dat het na blootstelling vele jaren – soms tientallen jaren – kan duren voordat symptomen van mesothelioom of andere asbestgerelateerde ziekten optreden.

"Het is algemeen bekend dat jongere werknemers onervaren zijn met betrekking tot het identificeren van gevaren en risico's (niet alleen asbest) op locatie", zegt de Britse gezondheids- en veiligheidsexpert Sean Maguire van RPP Architects, die advies geeft aan klanten en bouwprofessionals.

“Ze moeten worden geïnformeerd en de juiste training krijgen over waar asbest kan worden gevonden.

"En ze mogen niet beginnen met werken aan een gebouw van een bepaalde leeftijd zonder te vragen of er een renovatie- en slooponderzoek naar asbest is uitgevoerd of dat het asbest is verwijderd voordat het werk begint."

Ondertussen heeft de European Construction Industry Federation (FIEC) gewaarschuwd dat de blootstelling van werknemers waarschijnlijk zal toenemen, omdat zij verwacht dat de renovatiewerkzaamheden in Europa de komende jaren zullen toenemen naarmate gebouwen die asbest bevatten ouder worden.

Britse regelgevende instanties voeren campagnes om het bewustzijn onder jongere werknemers te vergroten

Daarom lanceerde de Britse gezondheids- en veiligheidsregulator, de Health and Safety Executive (HSE), deze maand een nieuwe campagne, genaamd 'Asbestos & You'.

Het is gericht op millennials, werknemers van generatie Z die in de bouw werken en hun carrière na 1999 zijn begonnen.

Het komt omdat 5.000 mensen in het land nog steeds sterven aan asbestgerelateerde ziekten in het land. Asbest werd vanaf de jaren vijftig tot een verbod in 1999 op grote schaal gebruikt bij de bouw en het onderhoud van gebouwen.

HSE's chief executive Sarah Albon zei: "Blootstelling aan asbest in Groot-Brittannië is nog steeds de grootste oorzaak van werkgerelateerde sterfgevallen

"Iedereen die tegenwoordig in de bouw werkt, van welke leeftijd dan ook, moet het risico van asbest serieus nemen."

Maguire merkt op: "Elke campagne die het bewustzijn van asbest vergroot, is welkom."

En hij waarschuwt: “Asbest wordt niet beheerd en gecontroleerd door alle eigenaren van onroerend goed, zoals vereist door de regelgeving en veel aannemers, onderaannemers, agenten op locaties voeren werken uit zonder te vragen of te horen dat er asbest in het gebouw kan zitten en dat ze dit tijdens de werken kunnen verstoren.”

Asbest verboden

Dankzij zijn eigenschappen als goede isolator, goede brandwerendheid en goede corrosiebescherming vond asbest vooral in de jaren vijftig, zestig en zeventig zijn weg naar een enorm scala aan bouwproducten.

In zowel industrieel als residentieel vastgoed waren dit onder meer: spuitcoatings op muren, plafonds, balken en kolommen; watertanks van asbestcement; losse vulling isolatie; plafondtegels; vinyl vloertegels; achterblijven op leidingen; en in cementdaken en cementbekledingen.

Veel landen hebben vervolgens asbest in bouwproducten verboden vanwege de schadelijke gevolgen voor de gezondheid.

Maar in sommige gevallen is het al tientallen jaren geleden dat die verboden werden gehandhaafd, wat betekent dat jongere generaties bouwvakkers zich misschien niet op dezelfde manier bewust zijn van de risico's als hun oudere tegenhangers.

Hier zijn enkele van de belangrijkste landen die asbest hebben verboden en de data van hun verbod:

Verenigd Koninkrijk: Volledig verboden asbest in november 1999. Het VK had de invoer en het gebruik van blauw (Crocidoliet) en bruin (Amosiet) asbest al in 1985 verboden. Dat verbod werd in 1999 uitgebreid tot wit asbest (chrysotiel).
Australië: volledig verboden asbest in december 2003.
Europese Unie: Verboden asbest in 2005, hoewel sommige lidstaten het ruim voor die tijd verboden hebben. Zo verbood Italië asbest in 1992.
Japan: Verboden asbest in 2006.
Canada: verboden asbest, waarvan de productie ooit een grote rol speelde in de economie, in 2018.
Zuid-Afrika: Zuid-Afrika was een wereldleider op het gebied van asbestproductie en als gevolg daarvan behoort de incidentie van mesothelioom tot de hoogste ter wereld. Het verbood asbest in 2008.
Verenigde Staten: Asbest is niet volledig verboden op federaal niveau. Maar sinds 1989 is er een gedeeltelijk verbod op asbest, waardoor de productie, invoer, verwerking en distributie van sommige asbesthoudende producten wordt verboden. Sommige individuele staten hebben strengere regels ingevoerd. New Jersey was de eerste staat die asbest verbood in 2018.
NJC.© Info RPP (FIEC)

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