HIMOINSA-On the road to hydrogen; GAS is becoming the fuel of today. Why ?

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HIMOINSA-Sur la route de l'hydrogène ; Le GAZ devient le carburant d'aujourd'hui. Pourquoi ?

On the road to hydrogen; GAS is becoming the fuel of today. Why? IMAGE SOURCE: HIMOINSA

 L'industrie électrique connaît des changements radicaux, d'autant plus suite au déchaînement soudain des derniers facteurs sociaux et géopolitiques (pandémies, guerre, inflation...). Heureusement, notre réaction à ces événements a été de nous efforcer encore plus de réduire les émissions de polluants ; à la fois les émissions nocives pour la santé (NOx, SOx, CO, particules) et celles qui provoquent le réchauffement climatique (CO2, CH4, NOx et CO)

Avec les véhicules électriques, les sources d'énergie renouvelables sont deux des réalités que nous percevons tous dans notre vie quotidienne et qui, cette fois, semblent imparables en raison des facteurs mentionnés ci-dessus. L'hydrogène a été le dernier à entrer dans ce processus de transition énergétique et il existe un engagement clair en faveur du développement d'une infrastructure qui permettra son expansion et sa consolidation.

Les sources d'énergie renouvelables, le soleil, le vent et les voitures électriques ont facilité un degré de production et d'électrification à grande échelle qui était impensable jusqu'à récemment. Et cette histoire aurait une fin heureuse dans 10 à 15 ans si les progrès en matière de stockage d'énergie étaient proportionnés. Mais beaucoup disent que ce n'est pas encore le cas et qu'à court terme un stockage suffisant ne sera pas disponible à un prix raisonnable. Ainsi, le gaz et le nucléaire deviennent un élément clé sur ce plateau de jeu, sur cette route vers le net zéro d'ici 2050. Et ils le seront encore de nombreuses années jusqu'à ce que le stockage de l'électricité permette de gérer ces énergies renouvelables, ou jusqu'à ce que l'hydrogène la production peut couvrir nos besoins en énergie au maximum. De plus, elles ne deviendront pas superflues avec l'arrivée de l'hydrogène, mais coexisteront pendant de nombreuses années dans un mix énergétique où chaque source aura un rôle spécifique à jouer.

Et dans ce contexte, le Parlement européen a récemment approuvé la taxonomie du nucléaire et du gaz comme "verts", c'est-à-dire qu'ils sont des sources d'énergie durables, étant donné qu'il est considéré que les sources renouvelables ne sont pas actuellement capables de produire toute l'électricité dont les pays et les économies ont besoin au quotidien. Cette décision de l'UE permet donc d'accélérer encore la décarbonation en s'appuyant sur des sources moins émettrices, comme le gaz, et en complément des sources renouvelables dès lors que ces dernières présentent certaines limites.

Et cette réalité de complémentarité est une réalité constante. À l'heure actuelle, chaque fois que les énergies renouvelables ne peuvent pas répondre à un niveau de demande donné, lorsque le système électrique n'a pas assez de puissance, ou même dans les secteurs où l'utilisation des énergies renouvelables n'est pas pratique, la production d'électricité doit être assurée par des groupes électrogènes. "À court terme, le système électrique renouvelable, qu'il soit distribué ou non, ne sera probablement pas en mesure d'alimenter tous ces véhicules électriques, machines électriques, systèmes aérothermiques, etc., sans la production d'énergie de secours nécessaire qu'un générateur ensemble peut fournir. Et lorsque le réseau ne fournit pas suffisamment d'énergie, si vous voulez maintenir la tension et la fréquence, vous devez également avoir la capacité de générer de l'énergie avec un temps de réponse rapide. Et c'est l'une des applications où la production de gaz naturel est la plus nécessaire, qu'il s'agisse d'usines de petite capacité (autonomes ou hybrides avec des batteries) ou de cycles combinés », prévient Manuel Aguilera, responsable de l'unité gaz mondiale chez HIMOINSA.

Le défi de générer de grandes installations de stockage sans grandes dépenses est une réalité. De nombreux articles ont évoqué le prix exorbitant de recharger le monde avec une énergie 100% renouvelable, un scénario que beaucoup décrivent comme "économiquement irréalisable - et cela avant même que nous ne prenions en compte la durabilité limitée des batteries". Certains pays, comme le Royaume-Uni, ont été très clairs à ce sujet depuis des années et se sont engagés dans des centrales de production distribuées au gaz naturel, la dernière version étant hybridée avec des batteries.

De plus, les centrales de ce type de capacité ne fonctionnent généralement pas plus de 1 500 heures par an (sur un total de 8 760 heures) précisément parce qu'elles sont là en secours des énergies renouvelables et, en plus d'être sobres en carbone, leur utilisation est faible mais décisif.

Comment pouvons-nous être affectés par la crise du gaz qui a éclaté en Europe ces derniers mois ?

HIMOINSA propose des solutions de gaz à la fois au GN (gaz naturel) et au GPL (gaz de pétrole liquéfié) pour le secteur de la location, MOBILE POWER. Notre solution la plus populaire est précisément notre groupe électrogène GPL qui est exempt des problèmes d'approvisionnement originaires de Russie qui sont principalement liés à la disponibilité réduite et à l'augmentation du prix du gaz naturel. La solution GPL est également préférée du fait qu'il est facile de stocker et de transporter le carburant, d'une manière très proche du diesel. Le GN dépend de la capacité à se connecter au pipeline ou à de grandes centrales électriques où le GNL vaut l'investissement
Pourquoi le gaz joue-t-il un rôle important dans le secteur de la production d'électricité ?

Il existe de nombreuses raisons pour lesquelles le gaz devrait être considéré comme un carburant clé pour le marché des groupes électrogènes. Les principales raisons suivent ci-dessous:Le gaz est déjà une solution disponible et bien établie qui permet de réduire notre empreinte carbone et autres émissions, nous permettant d'adhérer à notre feuille de route vers une planète durable.

Le gaz est une excellente alternative aux problèmes et inquiétudes exprimés par le secteur de la location suite à l'arrivée de la technologie Stage V, qui vise à réduire les émissions des unités diesel, conformément au règlement UE 2016/1628 pour les engins mobiles non routiers. C'est pourquoi les groupes électrogènes diesel intègrent de nouveaux systèmes de post-traitement qui, d'une part, représentent un changement dans l'utilisation de l'équipement et, d'autre part, suscitent une certaine incertitude chez les loueurs car il est considéré comme un système plus sophistiqué. système. A cet égard, les groupes électrogènes à gaz, avec leur technologie consolidée, intègrent déjà un simple convertisseur catalytique à trois voies qui élimine 90 % des émissions de CO, NOx, SOx et de particules et 20 % des émissions de CO2 et de bruit. Leur utilisation n'implique donc pas de changement de matériel pour les fabricants, ni de changement d'utilisation du matériel pour l'utilisateur, tout en garantissant le respect de la réglementation européenne en matière de émissions.

Les réglementations varient selon les régions du monde. Il existe des régions plus restrictives où des systèmes de production d'électricité plus respectueux de l'environnement ont été mis en œuvre, comme aux États-Unis (Tier 4) et en Europe (Stage V). Cependant, une partie du reste du monde fonctionne sans réglementation stricte qui limite ou réglemente l'émission de polluants. Une fois l'utilisation des groupes électrogènes au gaz normalisée à l'échelle mondiale, les émissions de CO2 seront réduites, qu'il existe ou non de telles réglementations.

Mais malgré tous ces arguments, qui font avant tout appel à la prise de conscience, à l'engagement et à la responsabilité en termes de contribution au développement durable, si l'on se demande encore « pourquoi le gaz ? », alors considérons d'autres points qui répondent à des raisons plus économiques et opérationnelles :

Parce que c'est moins cher; moins cher que le diesel à un moment où le prix de l'essence s'envole, comme c'est le cas actuellement. N'oublions pas non plus qu'une grande partie des subventions gouvernementales qui encourageaient l'utilisation de certains carburants sont supprimées, comme dans le cas du Royaume-Uni, où ils ont supprimé les subventions à l'utilisation du diesel rouge.

 Réduction des coûts d'exploitation et de maintenance car le cycle de vie des moteurs à essence est plus long que celui des moteurs diesel, et les vidanges durent plus longtemps et sont plus espacées dans le temps. A tel point que dans le cas d'un moteur à essence jusqu'à 100kW, l'intervalle de révision peut être allongé de 50% de plus que celui d'un moteur diesel, jusqu'au double dans les puissances de 100kW à 1MW, et jusqu'à trois fois plus grand dans les puissances nominales supérieures et supérieures à 1 MW.

Nous fournissons aux utilisateurs des programmes de formation sur la façon d'utiliser les équipements à gaz et sur tout ce qu'ils doivent garder à l'esprit pour garantir une utilisation facile.

Coûts d'acquisition compétitifs (CAPEX). Si le prix d'un groupe électrogène à gaz était traditionnellement plus élevé que celui d'un groupe électrogène diesel, aujourd'hui, avec l'avènement de la nouvelle technologie Stage V, le prix des groupes électrogènes diesel a augmenté et est maintenant très similaire aux groupes électrogènes à gaz.

La distribution de carburant et l'accessibilité ne sont plus un obstacle. Nous avons conclu des accords avec des distributeurs de GPL et de GNL, tels que Flogas au Royaume-Uni et Repsol en Espagne et au Portugal, afin de fournir aux utilisateurs finaux et aux sociétés de location un accès facile en termes de remplissage des réservoirs de gaz internes, intégrés aux groupes électrogènes, ainsi que de l'installation de réservoirs GPL externes pour prolonger la durée de fonctionnement de l'équipement partout où cela est nécessaire. L’objectif est de proposer une solution GPL globale pour l’événementiel et le BTP, les applications industrielles et résidentielles…

Ces unités garantissent une continuité de la technologie normalement utilisée dans la production d'électricité, ce qui permet aux entreprises du secteur de continuer à fonctionner avec des groupes électrogènes (équipements à combustion interne) et facilite la transition vers de nouvelles technologies (utilisation de batteries, sources renouvelables...). Bien sûr, c'est un saut technologique que nous allons vivre mais de manière progressive dans le processus de transition énergétique vers le zéro émission.

CONCLUSION | L'infrastructure gazière servira de base à la future distribution d'hydrogène

Il n'y a pas de carburant ou de source d'énergie qui puisse à lui seul nous rapprocher d'un monde neutre en CO2 d'ici 2050. L'engagement envers le gaz naturel, le GPL et le biogaz est une bonne nouvelle. Nous allons réduire d'urgence de 20 % les émissions de CO2 du secteur de la production d'électricité - où le déploiement des énergies renouvelables prendra du temps et posera certaines contraintes - et contribuer ainsi à des réductions drastiques des émissions.

Plus important encore, nous poserons les fondations et les infrastructures communes pour la future distribution du précieux hydrogène et d'autres gaz renouvelables comme le biométhane. Lorsqu'il sera disponible en quantité suffisante et une fois injecté dans les réseaux de distribution de gaz naturel, tout système raccordé au réseau gazier ira progressivement vers une source renouvelable et zéro émission. Mais sans aucun doute, la première étape consiste à continuer à promouvoir et à investir dans les systèmes de production d'électricité au gaz et à promouvoir le stockage, la distribution et l'utilisation du gaz, qu'il s'agisse de GPL ou de GNL. Cela contribuera à construire une infrastructure dont l'hydrogène bénéficiera plus tard.

Et une fois l'hydrogène arrivé, pour les années à venir, nous continuerons d'assister à la cohabitation de l'hydrogène avec les batteries, les groupes électrogènes gaz et diesel, les énergies renouvelables, l'hybridation...
NJC.© Infos HIMOINSA

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05/10/22-English

HIMOINSA-On the road to hydrogen; GAS is becoming the fuel of today. Why ?

On the road to hydrogen; GAS is becoming the fuel of today. Why? IMAGE SOURCE: HIMOINSA

 The power industry is experiencing radical change, even more so following the sudden unleashing of the latest social and geopolitical factors (pandemics, war, inflation...). Thankfully, our reaction to these events has been to strive even harder to reduce the emission of pollutants; both emissions that are harmful to health (NOx, SOx, CO, particulates) and those that cause global warming (CO2, CH4, NOx and CO)

Together with electric vehicles, renewable sources of power are two of the realities that we are all perceiving in our day-to-day lives and which, this time, seem to be unstoppable due to the factors mentioned above. Hydrogen has been the latest to enter this power transition process and there is a clear commitment to the development of an infrastructure that will enable its expansion and consolidation.

Renewable sources of power, the sun, wind, and electric cars have facilitated a degree of widespread generation and electrification that was unthinkable until recently. And this story would have a happy ending in 10 to 15 years’ time if advances in power storage were commensurate. But many say that this is not yet the case and that in the short-term sufficient storage will not be available at a reasonable price. Hence, gas and nuclear power are becoming a key element on this game board, on this road to net zero by 2050. And they will be for many years to come until power storage makes it possible to manage these renewable power sources, or until hydrogen production can cover our power needs to the maximum. Moreover, they will not become redundant with the arrival of hydrogen, rather they will coexist for many years in a power mix in which each source will have a specific role to play.

And in this context, the European Parliament has recently approved the taxonomy of nuclear and gas as ‘green’, in other words, they are sustainable sources of power, given that it is considered that renewable sources are not currently able to produce all the electricity that countries and economies need on a daily basis. This decision by the EU therefore makes it possible to further accelerate decarbonisation with the support of sources that generate lower emissions, such as gas, and that complement renewable sources whenever the latter present certain limitations.

And this reality of complementarity is a constant reality. At present, whenever renewables are unable to meet a given level of demand, when the electric system does not have enough power, or also even in those sectors where the use of renewable power is impractical, power generation has to be provided by generator sets. “In the short term, the renewable electric system, whether distributed or not, is unlikely to be able to power all these EVs, electrical machinery, aero-thermal systems, and so on, without the needed back-up power generation that a generator set can provide. And when the grid fails to provide sufficient power, if you are to maintain voltage and frequency, you also need to have the capacity to generate power with a fast response time. And that is one of the applications where natural gas generation is most needed, whether small capacity plants (stand-alone or hybridized with batteries) or combined cycle,” cautions Manuel Aguilera, Global Gas Unit Head at HIMOINSA.

The challenge of generating large storage plants without a large outlay is a reality. Many articles have discussed the exorbitant price of charging the world with 100% renewable power, a scenario that many describe as ‘economically infeasible - and that is even before we take the limited durability of batteries into account. Certain countries, such as the United Kingdom, have been very clear about this for years now, and are committed to distributed natural gas generation plants, the latest version being hybridized with batteries.

Moreover, plants with this type of capacity do not usually work more than 1,500 hours per year (out of a total of 8,760 hours) precisely because they are there as backup for renewables and, in addition to being low-carbon, their use is low but decisive.

How may we be affected by the gas crisis that has arisen in Europe in recent months?

HIMOINSA offers gas solutions with both NG (Natural Gas) and LPG (Liquefied Petroleum Gas) for the rental sector, MOBILE POWER. Our most popular solution is precisely our LPG generator set which is exempt from the supply problems originating in Russia which mainly have to do with the reduced availability and increased price of Natural Gas. The LPG solution is also preferred due to the fact that it is easy to store and transport the fuel, in a manner very akin to diesel. NG depends on being able to connect to the pipeline or to large power plants where LNG is worth the investment
Why does gas play an important role in the power generation sector?

There are many reasons why gas should be considered a key fuel for the generator set market. The main reasons follow below:Gas is already an available and well-established solution that makes it possible to reduce our carbon footprint and other emissions, enabling us to adhere to our roadmap towards a sustainable planet.

Gas is an excellent alternative to the problems and concerns voiced by the rental sector following the arrival of Stage V technology, which is intended to reduce emissions of diesel units, in compliance with EU Regulation 2016/1628 for non-road mobile machinery. That is why diesel generator sets incorporate new after-treatment systems that on the one hand represent a change in the way the equipment is used and, on the other, give rise to a degree of uncertainty among rental companies as it is considered a more sophisticated system. In this respect, gas generator sets, with their consolidated technology, already incorporate a simple three-way catalytic converter that eliminates 90% of CO, NOx, SOx, and particle emissions and 20% of CO2 and noise emissions. Their use does not, therefore, imply a change of equipment as far as the manufacturers are concerned, or a change in the way the equipment is used, as far as the user is concerned, while at the same time guaranteeing compliance with European regulations on emissions.

Regulations vary in different areas of the world. There are more restrictive regions where more environmentally friendly power generation systems have been implemented, such as in the USA (Tier 4) and Europe (Stage V). However some of the rest of the world operate without strict regulations that restrict or regulate the emission of pollutants. Once the use of gas generator sets is globally standardized, CO2 emissions will be reduced regardless of the existence or not of such regulations.

But despite all these arguments, which appeal primarily to awareness, commitment, and responsibility in terms of contributing to sustainability, if we are still asking ourselves 'why gas?', then let's consider other points that address more economic and operational reasons:

Because it's cheaper; cheaper than diesel at a time when the price of gas is soaring, as is currently the case. Let's also not forget that a large part of the government subsidies that encouraged the use of certain fuels are being withdrawn, as in the case of the United Kingdom, where they have abolished the subsidies for the use of red diesel.

 Reduced operating and maintenance costs since the life cycle of gas engines are longer than that of diesel engines, and oil changes last longer and are more spaced out over time. So much so in fact, that in the case of a gas engine of up to 100kW, the overhaul interval can be extended 50% more than that of a diesel engine, as much as double in 100kW to 1MW power ratings, and up to three times greater in power ratings above and beyond 1MW.

We provide users with training programmes on how to operate gas equipment and all they need to bear in mind to ensure ease of use.

Competitive acquisition costs (CAPEX). If the price of a gas generator set has traditionally been higher than that of a diesel generator set, nowadays, with the advent of the new Stage V technology, the price of diesel generators has increased and is now very similar to gas generator sets.

Fuel distribution and accessibility are no longer a barrier. We have established agreements with LPG and LNG distributors, such as Flogas in the UK and Repsol in Spain and Portugal, to provide end users and rental companies with easy access in terms of refilling internal gas tanks, built into the generator sets, and also of the installation of external LPG tanks to extend the running time of the equipment wherever it is needed. The objective is to offer a comprehensive LPG solution for events and construction, industrial and residential applications…

hese units guarantee a continuity of the technology normally used in generating power, which allows companies in the sector to continue operating with generator sets (internal combustion equipment) and easing the transition to new technologies (use of batteries, renewable sources...). Of course, this is a technological leap that we will experience but in a progressive manner in the process of energy transition towards zero emissions.

CONCLUSION | The gas infrastructure will serve as the basis for the future distribution of hydrogen

There is no one fuel or power source that can single-handedly bring us closer to a CO2-neutral world by 2050. The commitment to Natural Gas, LPG, and biogas is good news. We will urgently cut 20% of CO2 emissions in the power generation sector - where the deployment of renewables will take time and pose certain constraints - and thus contribute to drastic emission reductions.

Most importantly, we will be laying the foundations and the common infrastructures for the future distribution of precious hydrogen and other renewable gases such as biomethane. When it is available in sufficient quantity and once it is injected into the natural gas distribution grids, every system that is connected to the gas grid will progressively move towards using a renewable, zero-emission source. But without a doubt, the first step is to continue to promote and invest in gas-fired power generation systems and to promote the storage, distribution, and use of gas, regardless of whether it is LPG or LNG. This will help to build an infrastructure from which hydrogen will later benefit.

And once hydrogen has arrived, for years to come thereafter, we will continue to witness the coexistence of hydrogen with batteries, gas and diesel generator sets, renewables, hybridization...
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05/10/22-NL

HIMOINSA-Op weg naar waterstof; GAS wordt de brandstof van vandaag. Waarom ?

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 De energiesector ondergaat radicale veranderingen, vooral door de plotselinge ontketening van de nieuwste sociale en geopolitieke factoren (pandemie, oorlog, inflatie...). Gelukkig is onze reactie op deze gebeurtenissen geweest om nog harder te streven naar vermindering van de uitstoot van verontreinigende stoffen; zowel emissies die schadelijk zijn voor de gezondheid (NOx, SOx, CO, fijnstof) als die voor de opwarming van de aarde (CO2, CH4, NOx en CO)

Samen met elektrische voertuigen zijn hernieuwbare energiebronnen twee van de realiteiten die we allemaal in ons dagelijks leven waarnemen en die deze keer niet te stoppen lijken vanwege de bovengenoemde factoren. Waterstof is de laatste die dit energietransitieproces is ingegaan en er is een duidelijke inzet voor de ontwikkeling van een infrastructuur die de uitbreiding en consolidatie ervan mogelijk maakt.

Hernieuwbare energiebronnen, de zon, wind en elektrische auto's hebben een mate van wijdverbreide opwekking en elektrificatie mogelijk gemaakt die tot voor kort ondenkbaar was. En dit verhaal zou over 10 tot 15 jaar een goed einde hebben als de vooruitgang op het gebied van energieopslag evenredig was. Maar velen zeggen dat dit nog niet het geval is en dat er op korte termijn onvoldoende opslagruimte beschikbaar zal zijn tegen een redelijke prijs. Gas en kernenergie worden dus een sleutelelement op dit spelbord, op weg naar netto nul in 2050. En dat zal nog vele jaren duren totdat energieopslag het mogelijk maakt om deze hernieuwbare energiebronnen te beheren, of totdat waterstof productie kan onze stroombehoefte maximaal dekken. Bovendien worden ze niet overbodig met de komst van waterstof, maar zullen ze jarenlang naast elkaar bestaan ​​in een energiemix waarin elke bron een specifieke rol zal spelen.

En in deze context heeft het Europees Parlement onlangs de taxonomie van kernenergie en gas als 'groen' goedgekeurd, met andere woorden, het zijn duurzame energiebronnen, aangezien wordt aangenomen dat hernieuwbare bronnen momenteel niet alle elektriciteit kunnen produceren die landen en economieën dagelijks nodig hebben. Dit besluit van de EU maakt het daarom mogelijk om de decarbonisatie verder te versnellen met de steun van bronnen die minder uitstoot genereren, zoals gas, en die hernieuwbare bronnen aanvullen wanneer deze bepaalde beperkingen hebben.

En deze realiteit van complementariteit is een constante realiteit. Wanneer hernieuwbare energie momenteel niet aan een bepaald vraagniveau kan voldoen, wanneer het elektrische systeem niet over voldoende stroom beschikt, of zelfs in die sectoren waar het gebruik van hernieuwbare energie onpraktisch is, moet de stroomopwekking worden geleverd door generatorsets. “Op korte termijn is het onwaarschijnlijk dat het hernieuwbare elektrische systeem, of het nu gedistribueerd is of niet, al deze elektrische voertuigen, elektrische machines, aerothermische systemen enzovoort van stroom kan voorzien, zonder de benodigde back-up stroomopwekking die een generator nodig heeft. set kan bieden. En als het net niet voldoende stroom levert, moet je om spanning en frequentie op peil te houden ook de capaciteit hebben om stroom op te wekken met een snelle responstijd. En dat is een van de toepassingen waar de opwekking van aardgas het meest nodig is, of het nu gaat om installaties met een kleine capaciteit (stand-alone of gehybridiseerd met batterijen) of een gecombineerde cyclus”, waarschuwt Manuel Aguilera, Global Gas Unit Head bij HIMOINSA.

De uitdaging om zonder grote kosten grote opslaginstallaties te genereren is een feit. Veel artikelen hebben de exorbitante prijs besproken om de wereld op te laden met 100% hernieuwbare energie, een scenario dat door velen wordt omschreven als 'economisch onhaalbaar - en dat is nog voordat we rekening houden met de beperkte duurzaamheid van batterijen. Bepaalde landen, zoals het Verenigd Koninkrijk, zijn hier al jaren heel duidelijk over en zetten zich in voor gedistribueerde aardgasopwekkingsinstallaties, waarbij de nieuwste versie wordt gehybridiseerd met batterijen.

Bovendien werken centrales met dit soort capaciteit meestal niet meer dan 1.500 uur per jaar (van een totaal van 8.760 uur), juist omdat ze er zijn als back-up voor hernieuwbare energiebronnen en, naast koolstofarm, het gebruik ervan laag is maar beslissend.

Hoe kunnen wij worden geraakt door de gascrisis die de afgelopen maanden in Europa is ontstaan?

HIMOINSA biedt gasoplossingen met zowel aardgas (aardgas) als LPG (vloeibaar petroleumgas) voor de verhuursector, MOBILE POWER. Onze meest populaire oplossing is juist onze LPG-generatorset die vrijgesteld is van de uit Rusland afkomstige leveringsproblemen die voornamelijk te maken hebben met de verminderde beschikbaarheid en hogere prijs van aardgas. De LPG-oplossing heeft ook de voorkeur vanwege het feit dat het gemakkelijk is om de brandstof op te slaan en te transporteren, op een manier die sterk lijkt op diesel. NG is afhankelijk van het kunnen aansluiten op de pijpleiding of op grote elektriciteitscentrales waar LNG de investering waard is
Waarom speelt gas een belangrijke rol in de energieopwekkingssector?

Er zijn veel redenen waarom gas moet worden beschouwd als een belangrijke brandstof voor de markt voor generatoraggregaten. Hieronder volgen de belangrijkste redenen:Gas is al een beschikbare en gevestigde oplossing die het mogelijk maakt om onze CO2-voetafdruk en andere emissies te verminderen, waardoor we ons kunnen houden aan onze routekaart naar een duurzame planeet.

Gas is een uitstekend alternatief voor de problemen en zorgen van de verhuursector na de komst van Stage V-technologie, die bedoeld is om de uitstoot van dieselmotoren te verminderen, in overeenstemming met EU-verordening 2016/1628 voor niet voor de weg bestemde mobiele machines. Dat is de reden waarom dieselgeneratorsets nieuwe nabehandelingssystemen bevatten die enerzijds een verandering betekenen in de manier waarop de apparatuur wordt gebruikt en anderzijds aanleiding geven tot een zekere mate van onzekerheid bij verhuurbedrijven omdat het wordt beschouwd als een meer geavanceerde systeem. In dit opzicht bevatten gasgeneratorsets, met hun geconsolideerde technologie, al een eenvoudige driewegkatalysator die 90% van de CO-, NOx-, SOx- en deeltjesemissies en 20% van de CO2- en geluidsemissies elimineert. Het gebruik ervan houdt dus geen verandering van apparatuur in voor zover het de fabrikanten betreft, of een verandering in de manier waarop de apparatuur wordt gebruikt, voor zover het de gebruiker betreft, terwijl tegelijkertijd wordt gegarandeerd dat wordt voldaan aan de Europese regelgeving op het gebied van uitstoot.

Regelgeving varieert in verschillende delen van de wereld. Er zijn meer restrictieve regio's waar milieuvriendelijkere energieopwekkingssystemen zijn geïmplementeerd, zoals in de VS (Tier 4) en Europa (Stage V). Een deel van de rest van de wereld werkt echter zonder strikte regels die de uitstoot van verontreinigende stoffen beperken of reguleren. Zodra het gebruik van gasgeneratorsets wereldwijd is gestandaardiseerd, zal de CO2-uitstoot worden verminderd, ongeacht het bestaan ​​of niet van dergelijke regelgeving.

Maar ondanks al deze argumenten, die vooral appelleren aan bewustzijn, betrokkenheid en verantwoordelijkheid in termen van bijdragen aan duurzaamheid, als we ons nog steeds afvragen 'waarom gas?', laten we dan eens kijken naar andere punten die meer economische en operationele redenen aanpakken:

Omdat het goedkoper is; goedkoper dan diesel in een tijd dat de gasprijs stijgt, zoals nu het geval is. Laten we ook niet vergeten dat een groot deel van de overheidssubsidies die het gebruik van bepaalde brandstoffen aanmoedigden, worden ingetrokken, zoals in het geval van het Verenigd Koninkrijk, waar ze de subsidies voor het gebruik van rode diesel hebben afgeschaft.

 Lagere bedrijfs- en onderhoudskosten aangezien de levenscyclus van gasmotoren langer is dan die van dieselmotoren, en olieverversingen langer duren en meer gespreid zijn in de tijd. Zozeer zelfs, dat bij een gasmotor tot 100 kW het revisie-interval 50% langer kan worden verlengd dan bij een dieselmotor, tot wel het dubbele in het vermogen van 100 kW tot 1 MW, en tot drie keer groter in vermogens boven en boven 1MW.

We bieden gebruikers trainingsprogramma's over het bedienen van gasapparatuur en alles waar ze rekening mee moeten houden om het gebruiksgemak te garanderen.

Concurrerende acquisitiekosten (CAPEX). Was de prijs van een gasgeneratorset traditioneel hoger dan die van een dieselgeneratorset, tegenwoordig, met de komst van de nieuwe Stage V-technologie, is de prijs van dieselgeneratoren gestegen en lijkt deze nu sterk op gasgeneratorsets.

Brandstofdistributie en bereikbaarheid vormen geen barrière meer. We hebben overeenkomsten gesloten met LPG- en LNG-distributeurs, zoals Flogas in het VK en Repsol in Spanje en Portugal, om eindgebruikers en verhuurbedrijven gemakkelijke toegang te bieden voor het bijvullen van interne gastanks, ingebouwd in de generatorsets, en ook van de installatie van externe LPG-tanks om de looptijd van de apparatuur te verlengen waar dat nodig is. Het doel is om een ​​uitgebreide LPG-oplossing te bieden voor evenementen en bouw, industriële en residentiële toepassingen...

Deze units garanderen een continuïteit van de technologie die normaal gebruikt wordt voor de opwekking van stroom, waardoor bedrijven in de sector kunnen blijven werken met generatorsets (interne verbrandingsapparatuur) en de overgang naar nieuwe technologieën (gebruik van batterijen, hernieuwbare bronnen...) vergemakkelijken. Natuurlijk is dit een technologische sprong die we zullen maken, maar op een progressieve manier in het proces van energietransitie naar nul-emissies.

CONCLUSIE | De gasinfrastructuur zal als basis dienen voor de toekomstige distributie van waterstof

Er is geen brandstof of energiebron die ons in zijn eentje dichter bij een CO2-neutrale wereld kan brengen in 2050. De inzet voor aardgas, lpg en biogas is goed nieuws. We zullen dringend 20% van de CO2-uitstoot in de elektriciteitsproductiesector verminderen - waar de inzet van hernieuwbare energiebronnen tijd zal vergen en bepaalde beperkingen met zich mee zal brengen - en zo bijdragen aan drastische emissiereducties.

Het belangrijkste is dat we de basis en de gemeenschappelijke infrastructuur leggen voor de toekomstige distributie van kostbare waterstof en andere hernieuwbare gassen zoals biomethaan. Wanneer het in voldoende hoeveelheid beschikbaar is en eenmaal is geïnjecteerd in de aardgasdistributienetten, zal elk systeem dat is aangesloten op het gasnet geleidelijk evolueren naar het gebruik van een hernieuwbare, emissievrije bron. Maar de eerste stap is ongetwijfeld het blijven promoten van en investeren in gasgestookte elektriciteitsopwekkingssystemen en het bevorderen van de opslag, distributie en het gebruik van gas, ongeacht of het LPG of LNG is. Dit zal helpen om een ​​infrastructuur te bouwen waar waterstof later profijt van zal hebben.

En als waterstof eenmaal is gearriveerd, zullen we de komende jaren getuige blijven van het naast elkaar bestaan ​​van waterstof met batterijen, gas- en dieselgeneratorsets, hernieuwbare energiebronnen, hybridisatie...
NJC.© Info HIMOINSA

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